Psychologue féministe LGBTQI+
Au cours de ma formation universitaire en psychologie, j’ai été confrontée au sexisme, tant dans les théories enseignées que dans les dynamiques de pouvoir présentes à l’université. En travaillant sur mon mémoire de recherche de première année de master portant sur le « syndrome prémenstruel » (SPM), j’ai pu explorer les travaux de chercheuses et chercheurs en psychologie féministe. J’y ai trouvé un courant de la psychologie qui regarde la pratique clinique avec les lunettes du féminisme, pour que la relation psy-patient.e ne soit pas un lieu qui reproduit les conditions de la domination des femmes et des minorités.
Je défends donc une approche de la psychologie informée des systèmes et mécanismes de domination présents dans notre société. C’est pourquoi je m’efforce d’offrir non seulement un cadre « safe » pour les personnes victimes d’oppressions (raciste, sexiste, lgbtqiphobe, grossophobe, validiste, psychophobe…), mais aussi que je prends en considération l’impact de ces oppressions systémiques sur le fonctionnement psychique et la santé mentale des personnes. Les personnes queer sont bienvenues. Dans une approche trans-affirmative, j’accompagne les personnes trans, binaires ou non-binaires.